Vous avez un projet d'épargne ?
Que ce soit pour défiscaliser, faire fructifier votre argent ou épargner pour vos enfants, notre simulateur vous guide vers les solutions adaptées à vos objectifs !
L’assurance-vie est le contrat d’épargne le plus apprécié des Français. Selon France Assureur, la collecte nette en assurance-vie est de 2,4 milliards d’euros en 2024, avec un encours de 1 923 milliards d’euros, un record. Mais pourquoi un tel succès ? Polyvalente et flexible, l’assurance-vie permet non seulement de se constituer une épargne à son rythme, mais aussi de préparer des projets importants, comme la retraite ou l’achat d’un bien immobilier.
Ce guide vous explique ce qu’est une assurance-vie, comment elle fonctionne et pourquoi elle pourrait être une solution idéale pour vos besoins d’épargne et de transmission !
Assurance-vie : définition
Une assurance-vie, c’est quoi ?
Une assurance-vie est un contrat que vous signez avec une compagnie d’assurance. Le fonctionnement de l’assurance-vie est le suivant :
- Vous versez de l’argent sur ce contrat. Bonne nouvelle, il n’existe aucun plafond de versement sur les contrats d’assurance-vie.
- En échange, la compagnie d’assurance fait fructifier votre argent, que vous pouvez retirer à tout moment !
L’assurance-vie est un outil d’épargne “couteau-suisse”. Elle peut vous permettre de vous constituer une épargne pour des projets futurs, de préparer votre retraite, ou encore de protéger vos proches en cas de décès !
Assurance-vie en cas de vie, de décès ou mixte : les différents types de contrats en fonction de vos objectifs
Selon vos objectifs (épargner, protéger vos proches), vous pouvez ouvrir différents types de contrats d’assurance-vie :
- Le contrat d’assurance-vie en cas de vie est surtout utilisé pour épargner. Si vous êtes toujours en vie à la fin du contrat, vous récupérez votre argent (éventuellement avec des intérêts). C’est donc une solution pour mettre de côté en vue de projets futurs, comme la retraite.
- Le contrat d’assurance-vie en cas de décès a pour objectif principal de protéger vos proches. Si vous décédez pendant la durée du contrat, l’argent ira directement aux bénéficiaires que vous avez désignés.
- Le contrat d’assurance-vie mixte. Ce contrat combine assurance-vie en cas de vie et assurance-vie en cas de décès. Si vous êtes en vie à la fin du contrat, vous récupérez votre argent. Si vous décédez avant la fin, ce sont vos bénéficiaires qui recevront l’argent.
Aujourd’hui, la plupart des contrats que vous retrouverez seront des contrats mixtes, qui vous permettront de répondre à tous les objectifs que vous pourriez avoir tout au long de votre vie !
Chez Mon Petit Placement, nous proposons une assurance-vie accessible dès 300€, qui s’adapte à vos objectifs et à votre appétit pour le risque.
Le versement des primes
Une fois votre contrat ouvert, vous pouvez y verser de l’argent. Ces versements sont appelés primes dans le jargon. Il existe trois types de primes différentes :
- Les primes périodiques fixes. Vous avez un montant à payer régulièrement (chaque mois, chaque année, etc.), et ce montant est défini dans le contrat dès le départ. Si vous oubliez de payer une prime, l’assureur vous enverra une lettre de rappel. Si vous ne payez toujours pas après 40 jours, l’assureur peut soit annuler le contrat, soit le laisser en place avec des garanties réduites (si vous avez déjà versé un certain montant).
- Les primes à versements libres. Vous n’êtes pas obligé de verser une somme fixe à des dates précises. Vous versez de l’argent quand vous le pouvez ou quand vous le souhaitez.
- La prime unique. Ici, vous payez tout d’un coup, en une seule fois, au moment où vous souscrivez le contrat. Il n’y a pas de paiements réguliers à prévoir par la suite.
Bon à savoir
Chez Mon Petit Placement, nous vous proposons de faire des versements libres, quand bon vous semble. Vous pouvez également mettre en place des versements mensuels pour mieux épargner, et les arrêter dès que vous le souhaitez. Cela vous permet de gérer votre placement en toute liberté !
Les rachats : partiels ou totaux
Lorsque vous souscrivez une assurance-vie, vous épargnez de l’argent sur un contrat. La bonne nouvelle, c’est que cet argent n’est jamais bloqué. Vous pouvez, à tout moment, faire ce que l’on appelle un rachat (encore une fois, dans le jargon).
Il existe deux types de rachat :
- Le rachat partiel. Vous ne retirez qu’une partie de l’argent disponible sur votre contrat. Vous laissez le reste de l’argent sur l’assurance-vie pour continuer à fructifier.
- Le rachat total. Vous retirez la totalité de l’argent de votre contrat d’assurance-vie. Cela met fin à votre contrat.
Les objectifs de l’assurance-vie
L’assurance-vie est un contrat très flexible. Vous pouvez vous en servir pour :
- Mettre de l’argent de côté pour vos projets futurs (achat de maison, retraite, études des enfants, etc.).
- Faire fructifier votre argent. Les sommes que vous versez peuvent être placées sur des supports qui rapportent des intérêts, comme des actions ou des obligations.
- Protéger vos proches. Comme expliqué précédemment, si vous décédez, l’argent ira directement aux personnes que vous avez choisies, souvent sans entrer dans votre succession. On reviendra dessus plus tard dans l’article.
Les différents types de contrats pour gérer votre argent : monosupport, multisupport
Le contrat d’assurance-vie vous permet de faire fructifier votre argent de différentes façons. En fonction de vos objectifs et de votre appétence pour le risque, vous pouvez choisir entre deux grandes options : le contrat monosupport ou le contrat multisupport.
Le contrat monosupport n’offre qu’un seul support pour placer votre argent, généralement un fonds en euros. Ce type de fonds est sécurisé. Il fait partie des placements sans risque, c’est-à-dire que votre argent est protégé. Vous ne risquez pas de le perdre. C’est une solution plus sûre, mais avec un rendement (intérêt gagné) souvent plus bas.
À l’inverse, dans un contrat multisupport, votre argent peut être réparti sur plusieurs supports différents, pas seulement sur un fonds en euros sécurisé. Il peut être placé sur des supports plus risqués, comme des actions ou des obligations (qu’on appelle des unités de compte). Avec ce type de contrat, vous pouvez potentiellement gagner plus d’argent, mais il y a aussi plus de risques de perdre une partie de votre épargne si les investissements ne se passent pas bien.
Chez Mon Petit Placement, nous proposons un contrat multisupport. Vous avez la possibilité de choisir soit le fonds euros, soit les unités de compte, soit les deux ! L’intérêt de choisir les deux et que cela vous permet de sécuriser une partie de votre capital tout en cherchant à maximiser les rendements avec une autre partie.
La clause bénéficiaire
Quand vous souscrivez une assurance-vie, vous devez désigner une ou plusieurs personnes qui recevront l’argent si vous décédez. C’est ce qu’on appelle la clause bénéficiaire. Cette personne peut être un proche, un ami, ou même une association. Vous pouvez changer cette clause à tout moment si vous le souhaitez.
Il est important de bien rédiger cette clause parce qu’une mauvaise formulation peut rendre difficile l’identification du bénéficiaire et conduire à des désaccords entre les membres de la famille ou les héritiers.
Qui peut ouvrir un contrat d’assurance-vie ?
Pour ouvrir un contrat d’assurance-vie, vous devez a minima avoir la majorité (18 ans) et ne pas être sous tutelle. L’assurance-vie est donc tout à fait adaptée aux jeunes. En revanche, les mineurs et les personnes majeures sous tutelle ne peuvent pas souscrire seuls un contrat d’assurance-vie. Chez Mon Petit Placement, nous proposons un investissement pour les mineurs pour que vous puissiez investir pour l’avenir de vos enfants.
Notez que certaines compagnies d’assurance peuvent imposer des limites d’âge pour souscrire un contrat. Par ailleurs, elles peuvent également vous demander de remplir un questionnaire médical. Enfin, sachez qu’il est tout à fait possible d’avoir plusieurs contrats d’assurance-vie en même temps.
Bon à savoir
Il est possible de souscrire un contrat d’assurance-vie à plusieurs, par exemple en couple. On appelle cela une souscription conjointe.
Les frais prélevés : quels sont-ils ?
Lorsque vous souscrivez une assurance-vie, la compagnie d’assurance peut vous facturer des frais à différentes étapes du contrat, que ce soit lors de la souscription, à chaque versement ou encore durant la vie du contrat. Ces frais sont déduits de l’argent que vous investissez sur le contrat, ce qui peut influencer la somme finale disponible pour vous.
Voici les 4 principaux types de frais que vous pouvez rencontrer dans une assurance-vie :
- Les frais de dossier. Ces frais sont facturés une seule fois, au moment où vous ouvrez votre contrat d’assurance-vie. Ils sont fixes, c’est-à-dire que la somme est déterminée à l’avance, quel que soit le montant que vous versez. Ils sont payés au moment de la souscription, donc une fois au tout début du contrat.
- Les frais d’entrée. Ces frais sont prélevés chaque fois que vous versez de l’argent sur votre contrat d’assurance-vie. Que ce soit à l’ouverture ou lors des versements que vous effectuez ensuite (si vous ajoutez de l’argent régulièrement). Ils peuvent être soit fixes (forfaitaires), soit calculés en pourcentage du montant que vous versez. Ils doivent être payés chaque fois que vous effectuez un versement, à la souscription ou en cours de contrat.
- Les frais de gestion. Ces frais sont prélevés tout au long de la durée du contrat pour couvrir la gestion de votre épargne par l’assureur. Ils sont souvent exprimés en pourcentage de la valeur de votre épargne (les sommes investies sur votre contrat). Ils sont prélevés pendant toute la durée du contrat, même si vous ne faites pas de nouveaux versements.
- Les frais d’arbitrage. Ces frais s’appliquent si vous avez un contrat multisupport et que vous décidez de transférer de l’argent d’un support d’investissement à un autre (par exemple, d’un fonds en euros d’une assurance-vie vers une unité de compte). Ces frais peuvent être soit fixes (forfaitaires), soit proportionnels à la somme transférée. Ils sont prélevés chaque fois que vous réalisez un arbitrage sur votre assurance-vie, c’est-à-dire un changement dans la façon dont votre argent est investi.
Chez Mon Petit Placement, nous voulons rendre l’investissement accessible à toutes et tous. Pour cela, nous avons réduit au maximum les frais. Chez nous, pas de frais d’entrée, de dossier, de sortie ou encore d’arbitrage !
Pourquoi ouvrir un contrat d’assurance-vie ?
Ouvrir un contrat d’assurance-vie présente plusieurs avantages. L’assurance-vie vous permet de constituer une épargne selon vos possibilités. Vous pouvez effectuer des versements réguliers (chaque mois ou chaque année) ou ponctuels (quand vous le souhaitez). Cette flexibilité est idéale si vous voulez épargner sans pression, à votre propre rythme.
Par ailleurs, avec une assurance-vie, votre argent peut être placé sur différents supports d’investissement, comme des fonds en euros (sécurisés) ou des unités de compte (plus risquées, mais avec des rendements potentiels plus élevés). Cela vous permet de faire fructifier votre épargne au fil du temps. Les intérêts générés viennent augmenter la somme que vous avez investie.
Autre point fort, l’assurance-vie n’est pas bloquée. Si vous avez besoin d’une partie ou de la totalité de votre épargne avant la fin du contrat, vous pouvez réaliser un rachat partiel ou total (comme on l’a expliqué plus tôt). Cela vous permet de financer des projets à court, moyen ou long terme (comme un achat immobilier, un voyage ou les études des enfants).
Contrat à long terme, l’assurance-vie est souvent utilisée pour préparer l’avenir, notamment la retraite. En constituant une épargne sur plusieurs années, vous pouvez bénéficier d’un complément de revenus une fois à la retraite, en réalisant des retraits réguliers ou en récupérant la totalité du capital à la fin du contrat.
En cas de décès, l’argent épargné sur votre contrat est transmis aux bénéficiaires que vous avez désignés (famille, amis, etc.). Cela permet de protéger financièrement vos proches, sans passer par des démarches compliquées. En plus, les sommes transmises bénéficient souvent d’un avantage fiscal par rapport à une succession classique.
Enfin, l’assurance-vie bénéficie d’une fiscalité avantageuse. Si vous gardez votre contrat pendant plusieurs années (au moins 8 ans), les intérêts sont moins imposés, ce qui vous permet de gagner plus d’argent sans payer trop d’impôts. C’est donc un excellent moyen d’épargner tout en bénéficiant de réductions fiscales !
Comprendre la fiscalité de l’assurance-vie
La fiscalité sur les gains
Les gains correspondent aux intérêts que vous gagnez grâce à l’argent que vous placez sur votre contrat d’assurance-vie. Ces intérêts sont soumis à des impôts lorsque vous faites un retrait d’argent (partiel ou total) de votre contrat. La taxation dépend du moment où vous effectuez ce retrait et du montant que vous avez versé sur votre contrat.
La fiscalité depuis le 27 septembre 2017
Depuis le 27 septembre 2017, les intérêts des contrats d’assurance-vie sont soumis au Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) de 30 %. Ce prélèvement s’applique lorsque vous retirez de l’argent de votre contrat, et il varie en fonction de l’ancienneté du contrat et des montants versés.
Si votre contrat a plus de 8 ans, pour les sommes versées inférieures à 150 000 €, les gains sont taxés à 24,7 % :
- 7,5 % pour l’impôt sur le revenu ;
- 17,2 % de prélèvements sociaux (cotisations sociales).
Dans ce cas, vous bénéficiez d’un abattement annuel sur les gains de votre contrat d’assurance-vie, ce qui veut dire qu’une partie des intérêts n’est pas taxée. Cet abattement est de 4 600 € par an pour une personne seule et 9 200 € par an pour un couple marié ou pacsé. Vous l’aurez compris, la fiscalité en manière de retrait sur les contrats d’assurance-vie après 8 ans s’avère plutôt avantageuse.
Si votre contrat a moins de 8 ans, les gains sont taxés à 30 % :
- 12,8 % pour l’impôt sur le revenu ;
- 17,2 % de prélèvements sociaux.
La fiscalité avant le 27 septembre 2017
Si vous avez effectué des versements avant le 27 septembre 2017, les intérêts peuvent être soumis à un régime d’imposition différent. Voici les règles :
- Si votre contrat a moins de 8 ans, les intérêts sont soumis soit au barème progressif de l’impôt sur le revenu (selon vos revenus), soit à un prélèvement forfaitaire libératoire (PFL) de 35 % si le contrat a moins de 4 ans et de 15 % si le contrat a entre 4 et 8 ans. En plus, vous payez 17,2 % de prélèvements sociaux.
- Si votre contrat a plus de 8 ans, vous pouvez choisir un PFL de 7,5 % pour les intérêts, plus les 17,2 % de prélèvements sociaux.
Les exonérations possibles
Dans certaines situations particulières, vous pouvez être exonéré sur les gains de votre assurance-vie (c’est-à-dire ne pas payer d’impôts). Ces cas incluent :
- le licenciement (si vous êtes inscrit à Pôle Emploi) ;
- la cessation d’activité non salariée après une liquidation judiciaire ;
- la mise à la retraite anticipée ;
- l’invalidité de 2e ou 3e catégorie reconnue par la Sécurité sociale.
La fiscalité pour les héritiers
Lorsque vous décédez, l’argent de votre contrat d’assurance-vie est transmis aux personnes que vous avez désignées (les bénéficiaires). L’avantage, c’est que cet argent ne fait pas partie de la succession classique. Cela signifie que les sommes ne sont pas soumises aux règles classiques des droits de succession, et vous pouvez avantager quelqu’un (même sans lien familial) en lui transmettant jusqu’à 152 500 € sans payer de frais de succession.
La fiscalité qui s’appliquera dépend de trois choses :
- La date d’ouverture de votre contrat.
- La date à laquelle vous avez versé l’argent sur ce contrat.
- Votre âge au moment où vous avez fait ces versements (avant ou après 70 ans en matière de succession et d’assurance-vie).
Si vous désignez votre conjoint (époux, épouse) ou votre partenaire de PACS, ils ne paieront aucun droit de succession, peu importe le montant reçu ou l’âge auquel vous avez versé l’argent. Même certains frères et sœurs (sous certaines conditions) peuvent aussi être exonérés de droits de succession. Si les bénéficiaires ne sont pas votre conjoint, PACS, ou des frères et sœurs, la fiscalité varie en fonction de votre âge au moment où vous avez versé les primes (l’argent) sur le contrat, comme le montre le tableau ci-dessous.
Sommes versées avant vos 70 ans | Sommes versées après vos 70 ans |
---|---|
Chaque bénéficiaire bénéficie d’un abattement de 152 500 €, c’est-à-dire qu’il peut recevoir cette somme sans payer de taxe. Au-delà de 152 500 €, les sommes sont taxées à 20 % pour la part qui dépasse 152 500 €, mais reste inférieure à 700 000 € et 31,25 % pour la part au-delà de 700 000 €. | Ici, un abattement unique de 30 500 € s’applique, quel que soit le nombre de bénéficiaires. Cela veut dire que le montant total transmis aux bénéficiaires sera exonéré jusqu’à 30 500 €. Au-delà de cette somme, l’argent versé est réintégré dans la succession et soumis aux règles classiques des droits de succession. |
Vous souhaitez en savoir davantage sur ce contrat ? N’hésitez pas à consulter notre guide de l’assurance-vie.
Tout ce que vous devez savoir sur l’assurance-vie
Où ouvrir un contrat d’assurance-vie ?
Vous pouvez ouvrir un contrat d’assurance-vie auprès de banques, compagnies d’assurances, ou en ligne avec des courtiers spécialisés. Il est important de comparer les offres pour choisir celle qui correspond le mieux à vos besoins. Prenez le temps d’analyser les contrats pour trouver la meilleure assurance-vie selon votre profil.
Vous pouvez aussi ouvrir un contrat d’assurance-vie chez Mon Petit Placement !
J'ouvre un contrat d'assurance-vieCombien rapporte une assurance-vie ?
Combien rapporte une assurance-vie ? C’est une question que beaucoup de gens se posent. Le taux de rémunération de l’assurance-vie dépend des supports choisis. Pour un fonds en euros (sécurisé), le taux tourne autour de 2 à 2,6 % par an. Faut-il donc plutôt investir en unités de compte ? Si vous choisissez des unités de compte (investissements plus risqués), les rendements peuvent être plus élevés, mais avec plus de risque de pertes.
Quels sont les avantages et les inconvénients de l’assurance-vie ?
L’assurance-vie présente certains avantages, mais aussi quelques inconvénients. Parmi les avantages, on peut citer :
- l’épargne flexible ;
- la transmission avantageuse ;
- la fiscalité attractive.
En ce qui concerne les inconvénients, on retrouve :
- les frais ;
- les rendements potentiellement limités avec les fonds en euros ;
- la fiscalité moins avantageuse pour les retraits précoces.
Vaut-il mieux placer son argent sur un livret ou une assurance-vie ?
Livret vs assurance-vie, tout dépend de vos projets. Le livret est idéal pour une épargne de court terme et sécurisée. L’assurance-vie est plus adaptée pour faire fructifier votre argent sur le long terme et préparer des projets.
Est-il intéressant de garder son assurance-vie ?
À la question faut-il garder son assurance-vie, tout dépend de vos objectifs. D’une manière générale, il peut être intéressant de garder son assurance-vie, surtout après 8 ans pour profiter des avantages fiscaux. Cependant, il faut surveiller les frais et les rendements pour s’assurer qu’elle reste un bon placement pour atteindre vos objectifs.
Notez d’ailleurs que l’assurance-vie n’a pas de durée fixe. Vous pouvez garder votre contrat aussi longtemps que vous le souhaitez.